voilà mon voyage en nouvelle Zélande se termine. La terminaison voyage ici s’applique aux nombre d’heures pour se rendre dans ce lointain pays. Le dépaysement n’est pas au rendez vous n’ayant eu que pour principal objectif de voyage la ville d’Auckland. Cependant Auckland est une ville facile à vivre, elle est étendue mais possède des quartiers résidentiels aux maisons proprettes ou on ressent un art de vivre za zen, tranquille. Ici no stress. Il y a un mixage important des populations. Un jeune étranger qui souhaite travailler et vivre en NZ peut y arriver. Les salaires sont très intéressants et il y a un système de choix de contrat. Si vous choisissez un 40 h et plus vous pouvez travailler autant d’heures que vous le souhaitez 80 – 100 h par semaine. Vous êtes payés en conséquence. Le salaire est souvent versé à la semaine, impôts déduits, le loyer se paie aussi à la semaine.
De nombreux bus sillonnent la ville. Vous ne pouvez pas vous perdre. Chaque néo-zélandais veille sur vous et vous renseigne avec beaucoup de patience et de politesse. Ils ne veulent pas que vous rentrez dans le pays avec de la nourriture venue d’ailleurs, si vous arrivez d’un pays « à risque » il vous nettoie vos chaussures, on sait jamais vous pouvez transporter un microbe inconnu glissé sur vos semelles. par contre même si le parti écologie semble important, des papiers jonchent parfois les pelouses et le sac réutilisable dans les grandes surfaces n’existe pas. Les grandes surfaces elles sont alléchantes, elles sont dotées d’innombrable produits issus de nombreux pays : inde, Thaïlande, Chine, Amérique du sud .. Les restaurants et les bars sont modernes, là encore vous pouvez dégustez le Fish and chips mais aussi manger japonais, chinois, indien, turque, français, thaïlandais..
Bref ville moderne, jeune ou les expatriés français peuvent jouir d’une qualité de vie qu’ils n’auront jamais en France. Leurs déplacements se font en taxi, leurs repas sont tous pris en extérieur et expatriés comme néo zélandais boivent aussi pas mal. Ils gagnent de l’argent et le dépensent.
La très belle rencontre fut bien sur pour Méliamé et sa famille. Une famille unie dans la tradition Tongienne mais également tournée vers le modernisme. Le plus fort moment fut la cérémonie de mariage ou l’amour que se portent guillaume et Méliamé était palpable dans chaque recoin de l’église.
Le bémol pour moi le temps 10 le matin, 16° l’après midi, avec un vent frais c’était dur dur. M’enfin. Un prochain voyage avec François dans 2 ou 3 ans nous permettra une réelle découverte de ce pays, de ces habitants, de sa culture du nord au sud. Rendez-vous à partir du 18 Novembre pour un nouveau voyage en Inde sur http://flanerieenasie2.blogs-de-voyage.fr/
Catégorie : Nouvelle Zélande 2014
Sortir à Auckland 2
le 9 Septembre
Le musée de Auckland
C’est avec ma mère que je prends mon premier jour de vacances. Bus ligne 20 jusqu’au terminal des bus « Britomart ». De la nous passons un moment dans un café avant de prendre le bus vert pour le musée. Le musée est situé dans un grand parc et regroupe sur trois niveaux l’histoire de la Nouvelle Zélande au 19ème siècle, l’histoire de la terre et de la mer, l’histoire de ses habitants, principalement les maoris, l’implication des néo-zélandais dans la 1èrer et seconde guerre mondiale.
Les traditions Maori À l’origine, le terme signifiait littéralement « ordinaire », mais cette étymologie est parfois discutée. En tahitien, « māori » signifie également « en confiance », « comme des bienvenus ». Haere māori mai ! : « Venez, soyez les bienvenus ! » (Dictionnaire du fare vana’a) C’est avec l’arrivée des premiers Européens (les «Pakeha » ou « Papa’a ») au XVIIIe siècle, que les populations indigènes ont commencé à se désigner ainsi, tout d’abord sous la forme de « tangata māori » (homme ordinaire, autochtone), pour finalement ne garder que « Māori ». L’art māori se caractérise par l’importance des tatouages aux formes courbes, le décor sculpté des maisons de bois, les bijoux… La tradition Maori la plus connue reste le hakka qui consiste en une danse et des chants de guerre et de combats. Ceux-ci étaient par le passé entonnés pour invoquer le dieu de la guerre et leur garantir a victoire. Aujourd’hui, celui-ci est prononcé lors de manifestations culturelles ou sportives en hommage aux origines de la nation. La culture Maori possède également de nombreuses légendes qui sont connues par l’ensemble de la population néo-zélandaise. Ainsi à Auckland est associée la légende de Tomaki Makaurau, nom donné à la ville par cette communauté. La légende racontée relate la vie des habitants de cette ville autrefois, légende entourée de magie et de croyances spirituelles. Au 1er étage l’on découvre des fossiles très intéressants et le monde des volcans néozélandais. On assiste d’ailleurs dans une salle à une éruption volcanique sous-marine dans l’ile du nord
visite de la sky Tower
La Sky Tower est une tour située dans le centre-ville d’Auckland qui sert d’émetteur pour la radio et la télévision. La tour fait partie d’un complexe, la SkyCity qui comprend deux restaurants, un hôtel et le plus grand casino de Nouvelle-Zélande. Du fait de ses 328 mètres de haut, la Sky Tower est le plus haut édifice de l’hémisphère sud. C’est l’une des principales attractions touristiques de la ville d’Auckland, en effet les visiteurs ont la possibilité d’accéder à trois plates-formes plus ou moins hautes afin d’admirer la vue sur toute la région d’Auckland. Par temps clair, il est possible de voir jusqu’à 82 kilomètres au loin. Elle fut inaugurée le 3 mars 1997 après plus de deux ans et demi de travaux qui ont nécessité quelque 15 000 mètres cubes de béton et près de 3 000 tonnes d’acier.
Le soir nous accueillons dans notre appartement la famille de Méliamé. Nous faisons un apéro quiche sans quiche mais avec différents grignotis qui nous permettent d’être cette fois ci tous ensemble autour de la même table.
Soirée très sympa ou chacun exprime sa chance d’avoir une nouvelle famille dans un pays aussi lointain
Sortir à AUCKLAND 1
notre résidence
le 7 septembre
lendemain du mariage et jour de la fête des pères. Le papa de Méliamé nous invite tous au restaurant nous nous retrouvons de nouveau à 18 autour de deux tables. Le menu est très gastronomique.
Clarence lui a eu sa première dent, il a marché pour la première fois sur une plage de coquillages, mis le bout des pied dans le Pacific et il a fait ses trois premiers pas.
le 8 septembre
Journée au zoo.28 $NZ l’entrée. Le zoo est surtout grandiose de par son parc paysagé : arbres et fleurs rares ou atypiques, lacs et cours d’eau, les animaux ont de beaux espaces. Hélas, il est difficile de les apercevoir car c’est l’heure de la sieste ou ils hibernent ou ce sont des animaux de la nuit donc impossible de les voir en plein jour : diable de Tasmani, kiwi
Quelques spécimens golden lion tamarin
un superbe orang-outan un peu joueur
Dominique vient nous rechercher en voiture ouf car il caille vraiment 10° le matin et 16 l’après midi. Il a aidé Guillaume et Méliamé a rapatrié leurs affaires du Sofitel et de la salle à chez eux. Ca y est les amoureux peuvent enfin vivre ensemble.
Mariage de Méliamé et Guillaume suite
A 17 h nous sommes à la salle de réception.
Les mariés seront absent avec leurs témoins pendant plus d’une heure séance photos oblige. Le vin d’honneur s’effectue au champagne, les invités font connaissance.
Un polaroïd est mis à notre disposition pour prendre des photos que l’on accroche ensuite sur un tableau ou la tour Eiffel est représentée. Le mariage est mis en valeur par les différentes cultures mises en présence : expatriés Français, Indiens, Sri-lankais, Tongiens ..
Super apéro une coupe, deux coupes, trois coupes, quatre coupes, cinq coupes, six coupes.. STOP, je vous indique ceci pour que vous compreniez bien la suite
Viens ensuite l’heure du repas. Alors là je défis quiconque de vous indiquez le menu.
Pendant près d’une heure c’est une succession de plats : salades diverses, porc, bœufs ???. En Nouvelle Zélande le repas de noce doit être servi en 1 h 30. Il faut dire que la salle est réservée jusqu’à 23 h 30 uniquement.
Tout le monde est joyeux et se régale de ses différents mets.
Puis vient le temps des discours
Méliamé nous régale d’une danse Tongienne.
Lors de cette danse sa famille et ses amis lui appose des billets de 50 $NZ sous forme d’un collier.
En réalité dans la coutume la mariée s’enduit d’huile et les invités lui collent des billets sur ses vêtements et bras. Guillaume n’y tenant plus va rejoindre Méliamé dans cette danse traditionnelle. pour la découpe de la pièce montée, Méliamé et Guillaume choisisse la simplicité juste dégager les deux premiers choux
A ce moment là on rajoute un, deux peut être trois verres de vin blanc et là c’est au tour des Crazy Puschkar de rentrer en scène.
et c’est à ce moment là que je rentre en transe car je me souviens du départ de la chanson et je me réveille à la dernière mesure. Entre les deux The First Trou Noir. le public semble dubitatif ou amusé
Méliamé et guillaume à leur tour montent sur la scène et ouvrent le bal
La soirée dansante est lancée au milieu d’une ronde de desserts et on rajoute quelques gorgée de blanc
puis quelque bière et là LE BIG TROU NOIR. Je me serais endormis sur un ensemble de poufs préparés à l’attention de Clarence, en rentrant à l’appartement j’ai joué au GPS, dès que le GPS donnait une indication et le nom d’une rue à emprunter je répétais en anglais la même chose. Même cette photo prise avec une fleur je n’en ai aucun souvenir. Le lendemain matin quand je me suis réveillée je ne savais pas comment j’étais rentrée, comment je m’étais couchée, je me souvenais d’avoir regarder mes plantes de pied et d’avoir les pieds noir ébène du aux danses effectuées pieds nus. Vous pouvez retrouver d’autres photos sur le Facebook de la photographe Kate Work.
Mariage de Méliamé et Guillaume
Je vais essayer de relater ce merveilleux mariage, il y aura hélas des blancs car parfois soit j’étais en transe soit en mode trou noir.
A 14 h 30 nous étions à l’église ou Guillaume et ses deux témoins Alexis et James, nous accueillent. Nous en profitons pour faire une séance photos perso.
Les invités arrivent tranquillement.
Nous admirons à loisir le tapis Tongien qui mène à l’autel (il a été réalisé par la grand-mère de Méliamé il y a fort longtemps) A 15 h nous sommes tous installés dans l’église en attente de la mariée et des demoiselles d’honneur. Depuis 10 h 30 ce matin elles se sont faites papouillées : maquilleuse, coiffeuse dans leur chambre au Sofitel d’Auckland qui est aussi le lieu de travail de Guillaume. Les mariés ici prennent en charge entièrement leurs témoins, garçons et demoiselle d’honneur : costumes, robes, bijoux, chaussures. De 14 h à 15 h Méliamé, Taokase et Christel ont « subit » une séance photos et vidéo, un vrai schooting de pro.
A 15 h 30, tout le monde est installé
.la cérémonie commence. Bridget au piano accompagne l’entrée du prêtre de si’i et lia porteurs d’anneaux et de fleurs de Christel
Taokase et enfin de Méliamé au bras de son papa L’émotion est déjà palpable guillaume comme à la répétition ne peut retenir ses larmes mais il n’est pas le seul
Quelques moments forts :
– L’allumage des bougies par le papa de Méliamé et Viviane en l’honneur des membres de la famille disparus et pour les personnes qui n’ont pu venir.
– La lecture du passage de la bible en Anglais, Français et Tongien. Christel a été choisie par son frère pour ce moment important sauf que Christel a cumulé plusieurs handicaps : lecture du texte 3 jours avant et après 30 h de voyage, le verset était écrit en petits caractères, il n’y avait pas assez de luminosité et sans « éducation » religieuse, penché sur la bible pour mieux discerner les mots, elle se demandait ce que signifiait ce texte qui semblait ne rien dire. Malgré tout le prêtre a remercier longuement Christel pour sa bonne lecture
– L’échange des vœux,
l’émotion de guillaume, les larmes de Méliamé et tout cet amour qu’ils se portent l’un pour l’autre
– l’allumage d’une bougie par les deux mariés, dont je ne connais pas la signification, tout le monde est attentif et ému, heureux pour Guillaume et Méliamé la cérémonie se termine bien sur par une séance de congratulations
ceci n’est qu’une mise en bouche, la suite est pour demain..
Jour J moins 5 heures
voici juste une mise en bouche avant l’événement de l’année la salle est située près du port de plaisance l’équipe de joyeux lurons est prête pour prêter main forte aux futurs mariés dans la déco de la salle La salle est époustouflante 2 bars nous agressent tout de suite les yeux
Méliamé et Guillaume nous managent avec brio
tableau indiquant le numéro de table, cœur avec les prénoms sur les verres, cartes postales de Paris sur la serviette des néo-zélandais, un bracelet en coquillage pour les français, un chocolat fin pour chacun
Alexis s’exerce a être le french lover de la soirée sous le regard amusé de Guillaume car le French Lover de la soirée c’est lui
il y a des coins repos dans toutes les salles et oui cool pour la fin de soirée. Méliamé, Christel et Taokase elles vont s’éclater au Sofitel : manucure, coiffeur, maquilleur, toutes les trois vêtues de peignoirs en soie et verre de champagne à gogo.
AUCKLAND 2
La culture locale
Auckland possède un héritage Maori important dans la métropole mais elle se nourrit aussi des culture des communautés d’origine européenne, polynésienne et asiatique.
La cohabitation internationale
La culture Pakeha correspond à celle apportée par les premiers colon du 19e siècle et a pour traits principaux l’égalitarisme entre les communautés et l’anti-intellectualisme.
Compte tenu de l’histoire coloniale de la ville, la seconde langue officielle de la ville est l’anglais néo-zélandais parlé par la majorité des habitants et reflet d’origines britanniques profondément ancrées mais où le multiculturalisme a eu pour effet de modifier légèrement la langue d’origine.
Les colons européens introduisent également de nombreuses composantes qui vont modifier la culture du lieu. Ainsi, les religions chrétiennes sont également importées des contrées des immigrants. Eglises anglicanes, protestantes et catholiques se développent don énormément et nombreux sont les Maoris qui sz convertissent à cette religion pendant le 19è siècle. Plus tard, les autres vagues de migrants apportent à leur tour leur religion et on compte alors de nombreux bouddhistes, hindouistes ou musulmans.
Le melting-pot de la population de cette grade agglomération a apporté des éléments de cultures étrangères comme un goût prononcé pour le mode de vie américain. Ainsi, les arts et la musique sont largement inspirés par ce modèle. De même, l’architecture, le développement urbain et les différents types de logement moderne sont conformes à ceux que l’on peut trouver sur le continent américain.
D’un point de vue politique un certain esprit conservateur règne tout en ayant une volonté de progrès utilisée avec parcimonie car le pays souhait fonder une nation qui ressemble à la population, à savoir aux multiples facettes qui ont toutes leurs importances.
Auckland constitue la capitale économique de la Nouvelle-Zélande car elle centralise l’essentiel de l’activité du pays et en génère les ressources. La ville connaît un essor économique constant grâce à une habile diversification des sources de richesses.
Principales caractéristiques
La monnaie du pays est une monnaie forte qui permet à la ville de posséder une santé économique des plus favorables. Le PIB est de 55 ce qui classe Auckland parmi les cent villes au monde possédant le plus important PIB. Vouée à augmenter proportionnellement à sa croissance économique, la ville apparaît comme une agglomération riche et prospère.
La métropole, du fait de ses différentes activités enregistre un taux de chômage très bas et les salaires versés aux employés sont élevés. La moyenne des revenus d’un néo-zélandais avoisine les 16 500 dollars par an.
Enfin, les valeurs boursières se développent largement et offrent des positions très élevées compte tenu de la conjoncture où elles se trouvent. De même, de nombreux habitants se tournent vers l’auto-entreprise avec succès car la particularité de cette ville réside dans le fait qu’elle se trouve toujours en pleine expansion et qu’elle rend de nombreuses initiatives possibles et fructueuses.
Les secteurs d’activité
La ville accueille de nombreuses entreprises multinationales qui profitent de la mixité de la population néo-zélandaise pour y prospérer. Les entreprises implantées sur le territoire sont essentiellement des entreprises d’affaires ou de services ainsi que des entreprises plus industrielles ou basées sur la technologie de pointe.
Le port de Manukau constitue un carrefour autant d’activités maritimes que comme une des plus grandes zones commerciales et industrielles du centre de la ville.
D’autre part, le modèle économique a su préserver un secteur agricole particulièrement développé qui contribue à l’économie de la ville en venant compléter les activités déjà présentes. Celui-ci permet à la métropole de bénéficier des avantages liés à un export massif de sa production conséquente.
Le tourisme reste un élément primordial de l’économie de la localité car le nombre de touristes venant découvrir la destination ne cesse d’augmenter ce qui est à la fois créateur d’emplois et source de profits.
Composition démographique d’Auckland
les différentes communautés recensement de 2006
Groupe ethnique | 2006 % | 2006 | ||
Européens | 56,5 | 698 622 | ||
Polynésiens | 14,4 | 177 936 | ||
Asiatiques | 18,9 | 234 222 | ||
Maori | 11,1 | 137 133 | ||
Moyen-Orient, Amérique Latine et Afrique | 1,5 | 18 555 | ||
Autre | 0,1 | 648 | ||
Néo-Zélandais | 8,0 | 99 258 | ||
Total | n/a | 1 237 239 |
On constate que le pourcentage total dépasse 100% car certaines personnes ayant des origines diverses ont revendique leur double appartenance lors du recensement. De nombreux européens descendant des colons fondateurs d’origine se considèrent dorénavant comme pleinement néo-zélandais.
AUCKLAND 1
Située dans le nord de l’île, Auckland est la plus grande ville de Nouvelle-Zélande, un endroit remarquable entouré de paysages pittoresques , de plages de sable noir et de cônes volcaniques . Le développement économique important a permis l’essor de la ville. De ce fait, un quart de la population vit dans cette métropole, à savoir 1 300 000 habitants : une majorité d’européens, des maoris, des polynésiens, des asiatiques. L’immigration est très importante dans cette ville et il est estimé que sa population atteindra les deux millions en 2050. La culture de la ville d’Auckland est donc riche de ces diversités.
Auckland se situe sur un isthme et possède donc deux ports de part et d’autre afin de permettre les échanges avec les pays ou îles voisines. Son intérêt est que la métropole se situe sur un champ volcanique où on peut trouver jusqu’à cinquante volcans de toutes formes, dont le plus grand se situe sur l’île de Rangitoto.
Un isthme est un territoire plus ou moins étroit entre deux mers ou deux golfes, qui réunit deux grandes étendues de terre. Le plus connu des isthmes est sans doute l’isthme de Panama qui relie l’Amérique du Nord à l’Amérique du Sud.
Particularité : une prépondérance de véhicules particuliers Au niveau du transport, on notera que seulement 5 % de la population emprunte les réseaux de bus et les transports en commun en général. En effet, la politique du pays a largement glorifié la possession de véhicules personnels et les acquéreurs ont donc été nombreux. Elle se trouve donc au deuxième rang mondial du nombre de véhicules par personne.
Histoire d’Auckland
L’histoire de cette ville de Nouvelle-Zélande est constituée de différentes vagues d’installation, de l’occupation des tribus primitives à nos jours. C’est ce passé tumultueux qui fait aujourd’hui la singularité de sa population, l’une des plus cosmopolite du monde.
L’héritage Maori
Les Maoris furent les premiers à s’installer sur l’isthme à partir du 14e siècle et en fondant cette ville, ils la nommèrent « Tamaki Makau Rau ». Ils aménagèrent largement les zones volcaniques en construisant des terrasses et des logements. En effet, la nature du lieu rend la terre particulièrement fertile et donc propice au développement d’une civilisation. De nombreux villages fortifiés sont alors construits. La première vague de colonisation néerlandaise au 17e siècle fut donc mal accueillie par les autochtones qui désiraient préserver leur territoire et les tentatives d’invasion donnèrent donc lieu à de nombreux affrontements dont les Maoris sortirent gagnants. Les premiers colons menés alors par le néerlandais Abel Tasman fut repoussé et les Maoris restèrent maîtres de la ville jusqu’à la colonisation du 18e siècle. Avec l’arrivée des premiers colons européens, l’introduction des armes donna lieu à des guerres tribales relativement importantes qui eut pour conséquence que chacune d’entre elles se retira vers l’intérieur des terres pour y trouver la sécurité.
Un chef Māori du XIXe siècle : « Honiana Te Puni-kokopu »
La colonisation européenne L’Europe commence à coloniser les lieux à partir du 18e siècle. En effet, l’explorateur James Cook tente une expédition en 1768 afin de conquérir l’île et le traité de Waitangi du 6 février 1840 fait de William Hobson le nouveau gouverneur de Nouvelle-Zélande. Hobson choisira alors Auckland comme capitale de cette colonie. John Logan Campbell est une figure emblématique de la capitale car l’écossais fut l’un des premiers à s’installer sur son sol et apparaît comme l’un des fondateurs d’Auckland. La colonisation fut rendue possible grâce à un accord avec la tribu Ngati Whatua qui mettra fin aux nombreux affrontements entre les deux parties. Octroyant un territoire aux européens, ceux-ci permettent l’expansion de la population de colons. En 1865, Wellington est préférée comme capitale mais ceci n’empêche pas l’installation discontinue de population britannique ni l’essor de la ville. Au cours des années 50, après la 2e Guerre mondiale, de nombreux immigrants issus de Hollande et de l’ensemble de la Grande-Bretagne viennent s’installer dans la ville et ainsi en 1996 la population atteint déjà un million d’habitants compte tenu également des vagues de migrations issues des îles proches qui, constatant le développement de la ville s’y installent à leur tour.
texte : Wikipédia Auckland, photos et cartes : Google image
Notre première sortie fut pour le port d’Auckland,
balade à pied puis en bus car il ne fait pas très beau. (prix d’un ticket 2$NZ)
Annie nous quitte assez vite car elle nous refait un Machermo bis (diarrhée importante). On se réfugie rapidement dans un resto pour manger le fameux fisch end chip’s.
Personnellement j’écourte la balade sur le port car le vent froid, frais à peine pour les autres, m’est insupportable.
Un petit tour dans la boutique dédiée au all black puis nous reprenons le bus 20 pour Richemond road. Je crois que nous avons tous un peu le contrecoup de notre long voyage. Ce soir je crois que l’on fera deux équipes ceux qui ont encore la force de sortir et ceux qui vont rester pépères.
Premier jour à Auckland
Levée 11 h 40, petit déjeuner, courses, petit café bien serré servi avec un verre d’eau gazeuse comme en Argentine et nous attendons avec impatience Christel, Jo et Clarence qui arrivent vers 14 h.
Les deux parents ont fait nuits blanches comme mamie Viviane. L’après midi s’écoule paisiblement, vers 17 h 30 nous partons à l’église pour la répétition du mariage de Méliamé et Guillaume.
Nous retrouvons la famille de Méliamé.
La cérémonie du mariage sera répétée deux fois. Une première fois pour mettre en place le déroulement et le positionnement des mariés, des témoins, des parents et grands parents acte par acte, la seconde fois un enchainent des différentes phases avec quelques conseils bénéfiques pour ceux qui n’auraient pas bien compris la première fois.
(Et oui nous sommes sponsorisés par Jack Daniel’s). C’est un style de mariage très à l’américaine. Le marié attend avec ses deux témoins la mariée qui rentre au bras de son père après les enfants d’honneurs, la demoiselle d’honneur et son témoin. Beaucoup d’émotions se dégagent lors de cette répétition, des larmes aussi et surtout tout le monde peut ressentir l’amour infini que se portent les deux futurs époux
Toakase la petite sœur de Méliamé nous invite tous se soir au restaurant, nous sommes 18. Elle a choisi le restaurant, le menu, Guillaume paiera toutes les boissons : cocktail, vin…
à gauche guillaume, Méliamé, Toakase, Bridget, amie de Toakase et pianiste de la cérémonie, en face Alexis, témoin de guillaume et ami de longtemps, jo, Christel, clarence, Jean Philippe et Fabienne, amis de Guillaume depuis 2ans 1/2, ils sont arrivés ensemble dans ce pays, mamie Viviane
Devant les 3 enfants de la sœur aînée de Méliamé, Annie, Dominique, de face le frère de Méliamé, puis James garçon d’honneur de guillaume et mari de la sœur aînée de Méliamé, la sœur de Méliamé, puis le papa qui ne parle que le Tongien. Le repas fut magique, c’est dingue toute cette générosité et gentillesse
Un long voyage vers ce pays
Dimanche 31 Août A 16 h nous sommes tous à l’aéroport Charles de Gaulle (sauf Christel, Jo, Clarence qui prennent l’avion demain). Enregistrement des bagages à 17 h, 4 h avant le décollage. A 18 h nous sommes installés au Starbuck Café, nous attendons notre premier vol : Paris – Hong Kong.
A 21 h 25 nous décollons enfin. Notre avion est un Air bus 340 de la compagnie Cathay Pacific. 9600 kms nous séparent de notre première destination. Le vol fut au départ joyeux apéro (1 vodka pour Viviane, une bière et un Chivas 12 ans d’âge pour Edith, un gin tonic pour Annie et un verre de vin blanc pour Domi), un repas plus que correct et c’est quand les lumières s’éteignent que cela se gâte. Les sièges ne s’inclinent pas, seul l’assise s’avance comme les sièges de cinéma ce qui rend le voyage tout de suite inconfortable. Derrière nous une chieuse, une vrai de vrai, une petite fille de 4 ans qui a décidé de ne point dormir et de regarder toute la nuit des dessins animés sur la tablette de son papa. Bon mis à part le son et chansons nauséeuses de ses dessins animés, elle nous abreuve de « je veux ma tétine, aie, aie, aie, wouin, wouin, wouin » toute la nuit. Je crois bien que j’ai eu une forte envie de la taper au moins 4 – 5 fois. Si non Vivianne assume bien son voyage, pas un reniflement et hélas pour elle pas d’assoupissements.
Lundi 1er Septembre A 9 h 30 heure Française, 15 30 heure locale, nous atterrissons enfin à Hong Kong après 12 heures de vol. Nous resterons 6 h en transit. vue sur la baie de Hong vue de l’aéroport sur Hong Kong et sur la mer de Chine
A 21 h 45 nous prenons notre deuxième vol : Hong Kong – Auckland (déjà 40 mn de retard). Dans l’avion on nous donne une carte d’immigration qui est exigée pour le passage des douanes. Le vol a commencé avec un triple whisky pour moi histoire d’essayer de m’assommer pour pouvoir dormir. L’avion étant presque vide nous pouvons occuper chacun deux sièges ce qui permet d’être plus à l’aise et d’effectuer ainsi un vol plus plaisant. Viviane n’a toujours pas dormi, nous admirons sa résistance et sa sérénité. Elle manipule presque avec dextérité la télécommande qui actionne son écran TV et alterne films et vues sur le plan de vol.
Mardi 2 septembre Le décalage horaire est désormais de 10 h. Nous atterrissons à Auckland à 12 h 20, 2 h 20 heure française (11 h 30 de vol). Il faut compter 30 mn pour passer l’immigration, ensuite une fois les bagages récupérés, il faut passer le test de biosécurité (rayon x et chiens détecteurs). C’est comme ci on repassait une 2ème immigration. Les contrôles biosécurité visent à protéger la biodiversité de la région. Chacun doit déclarer fidèlement toute marchandise qui pourrait être susceptible de porter des maladies ou parasites. Les marchandises faisant l’objet de contrôles stricts sont tous les aliments quels que soit leur forme, tous les végétaux (fruits et légumes) ou le bambou, tout type de bois, de paille .. La personne qui nous reçoit nous demande trois – quatre fois si nous n’avons ni fruits ou denrées « nuisibles » pour le pays. Suivant nos réponses on peut prendre une sortie directe vers la sortie ou passer nos bagages au rayon X. Au rayon x il vérifie le contenu de votre valise et gare à vous s’il découvre des denrée non déclarées. Nous, nous prenons l’allée de gauche pour échapper au x-ray. C’était sans compter sur LE chiens renifleur qui se met en arrêt pas devant mon sac qui contenait saucisson, pâté, nougats, vin, confiture, crème de marron.. mais devant le petit sac à dos d’Annie qui contenait 2 pommes. 2 pommes oubliées après ces plus de 30 h de voyage. Et comme on ne rigole pas avec la biosécurity Annie et Domi devront s’acquitter d’une amande de 400 $NZ. SUPER. Ce qui fait 254 €, donc le prix de la pomme la plus chère au monde est de 127€ pièce.
Bon un peu les nerfs, les boules voir pire mais dès la sortie de cet enfer sécuritaire Guillaume est là avec son ami et témoin Alexis, cela ramène l’apaisement et la gaité (ou presque).
A 16 h nous sommes au lieu dit Summerfield Villas in Grey Lynn/Ponsonby ou se trouve notre appartement,.
courses, douche, dîner simple avec Guillaume, Méliamé et Alexis puis repos bien mérité